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Rihanna se confie lors d’une interview exclusive avec le magazine NEW YORK TIMES !

La petite fille des Barbade, aujourd’hui une sacrée femme d’affaire et un nom qui représente l’une des marques les plus marchande au monde nous parle des hommes, du racisme et de ses limites.

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Après avoir vendu des millions d’albums, des parfums, avoir été classé parmi les 20 célébrités les plus influentes de l’histoire de la musique. Elle s’impose aujourd’hui comme encore plus forte avec son contrat en tant que directrice artistique chez Puma et sa signature en tant qu’égérie de Dior, c’est une Rihanna mature et consciente que l’on retrouve dans cet interview.

LE SUCCES ET SES RISQUES : 

« Je suis quelqu’un qui vivait l’instant présent mais depuis un certain moment je vis dans l’instant d’après. Je me sentais vulnérable dès que j’accomplissait quelque chose, je sentais le sol se dérober sous mes  pieds parce que tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain. Malgré que tout le monde me félicite, je ne veux pas me perdre dans le confort de la réussite. »

LES HOMMES : 

Les hommes ont besoin d’attention, que l’on flatte leur ego, je le donne à ma famille et à mon travail. Mais je ne le donnerai pas à un homme pour l’instant, c’est difficile de trouver un homme qui ne se sent pas menacer par ma puissance, les hommes cultivés m’attire. Je ne parle pas de diplôme mais que mon mec sache parler plusieurs langues ou qu’il connaisse d’autres cultures, d’autres histoires, d’autres parties du monde. J’aime apprendre d’un homme.

SES LIMITES SUR LES RESEAUX SOCIAUX :

« Je m’occupe personnellement de mon instragram, ça ne marche que comme ça de toute façon. Ce qui fait une bonne photo ? Il n’y a pas de règle et surtout pas concernant le nombre de vêtement que l’on porte. Moi ça me plait de voir une femme nue qui n’a même pas conscience de l’être. Juste la beauté pure du corps, chacun se fera sa propre idée et moi j’aurai la mienne. »

LE RACISME DANS LE MONDE DES AFFAIRES : 

« Vous savez j’ai commencé à en faire l’expérience quand j’ai commencé à faire du business, ce que je veux dire c’est que tout le monde est cool lorsqu’une jeune femme black chante, danse, fait la fête et se donne l’air hot. Mais lorsqu’il s’agit de négocier on lui rappelle soudainement ses origines et c’est ce qui me donne envie de donner tort à ces gens. Ça m’excite presque, je sais ce qu’ils attendent et je veux leur prouver que je peux leur donne encore bien plus que ça. »

Auteur – El Mexicano –

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